Appuis et experts

PAUSE peut compter sur la collaboration d’un vaste réseau d’appuis et d’un solide comité d’experts assurant la diffusion et la rigueur des activités proposées dans le cadre de cette campagne novatrice.

RÉSEAU D’APPUIS

La campagne PAUSE est réalisée en collaboration avec un réseau d’appuis afin d’en assurer le rayonnement et de créer de la synergie avec des démarches faisant la promotion d’une utilisation équilibrée d’Internet.

COMITÉ D’EXPERTS

La campagne PAUSE, de Capsana, est conçue avec le soutien d’un comité d’experts comptant des spécialistes en prévention de la cyberdépendance et en promotion des saines habitudes de vie chez les jeunes.

  • Magali Dufour, Ph.D. en Psychologie, présidente du comité, professeure agrégée, Département de psychologie à l’UQAM.
  • Jean-François Biron, agent de planification, programmation et recherche dans la prévention des jeux de hasard et d’argent et des dépendances au CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, Direction régionale de santé publique.
  • Sylvie R. Gagnon, clinicienne-chercheure en dépendance, CISSS de Lanaudière, Centre de réadaptation en dépendance.
  • Anne-Élizabeth Lapointe, directrice générale, La Maison Jean Lapointe.
  • Myriam Laventure, Ph.D. Éducation, professeure titulaire, Directrice du certificat en toxicomanie à l’Université de Sherbrooke.
  • Caroline Fitzpatrick, Ph.D. en Psychoéducation, professeure agrégée, Département de l’enseignement au préscolaire et au primaire à l’Université de Sherbrooke.

Les jeux vidéo et les algorithmes sont habilement conçus pour nous cibler, attirer notre attention par des notifications et nous inviter à effectuer une action qui est récompensée de façon aléatoire, nous poussant à revenir constamment à l’application. Cette stratégie fonctionne avec tout le monde, mais les jeunes sont plus vulnérables parce que certaines parties de leur cerveau sont encore en développement, ce qui les rend plus impulsifs et moins en mesure de se contrôler.

Internet n’est pas un problème en soi. C’est plutôt la pratique abusive d’activités sur le Web au détriment d’autres sources d’intérêt et de la vie hors ligne qui l’est et qui peut démarrer le cycle de la dépendance. Au Québec, la cyberdépendance toucherait 1,3 % des 15-18 ans, mais 18 % auraient un comportement à risque. C’est donc 1 jeune sur 5 qui aurait une utilisation problématique d’Internet (UPI)

– Magali Dufour, présidente du comité d’experts PAUSE.